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Accueil Société d' Étude des Civilisations Antiques Bas-Rhodaniennes SECABR Ange de la Médiathèque de Chusclan

Le numéro 125 de Rhodanie vient de paraitre


L’article de Dominique Cannaud, directeur de la publication, permet de mesurer le dynamisme et le rayonnement de la Société d’Études des Civilisations Antiques Bas-Rhodaniennes (SECABR) dont Rhodanie est l’émanation. Outre la publication et la diffusion de la revue, les adhérents, deux fois par mois, dans des randonnées culturelles, partent à la découverte de l’histoire de notre pays et des régions environnantes.

Dans un passionnant courrier des lecteurs, M. Barbe nous explique comment, grâce à la farandole et à la Coupo Santo, il a pu sauver l’honneur de Bagnols… au Texas !

Henri de Seguin exploite habilement le journal de son ancêtre le baron de Castille qui, avant la Révolution, entreprend un voyage instructif et pittoresque dans le Comtat et Avignon, États du Pape. Le baron nous fait connaitre ce pays à la fois proche et lointain sous un jour surprenant. Il visite la ville et les environs, apprécie les melons de Cavaillon, est surpris par la « foule considérable de juifs coiffés d’un chapeau de feutre jaune » mais, en ethnologue consciencieux, n’hésite pas à se pencher sur « les gorges charmantes des jeunes Avignonnaises qu’elles serrent juste au-dessous des tétons en leur laissant tout le jeu désirable ce qui leur donne beaucoup de grâce et est très attrayant. »

Louis Brun relate les pérégrinations et les vicissitudes de la plus grande des cloches bagnolaises, la Dumasse : le nom de son donateur, les drames qu’elle a vécus, qu’elle a causés… sans compter, comme toute cloche qui se respecte, le traditionnel voyage à Rome mis en vers provençaux par Léon Alègre.

Hervé Abrieu revient à l’époque reculée de la colonisation romaine : des colons nommés Ursus (Ours), Venerius, Lucius, Marius… venus cultiver les terres ont éternisé leur nom dans celui de nos villages et de nos quartiers.

François Saurel conte comment a été fondée et a prospéré, dans des temps déjà révolus, « la Cité Technique des Eyrieux » (« c’est sérieux » !) Ce proviseur historique (« trois septennats ! ») décrit cette évolution avec rigueur mais c’est avec son talent de conteur reconnu qu’il rappelle les savoureuses anecdotes qui émaillèrent la vie de cet établissement et y firent régner la convivialité. Anciens professeurs, anciens élèves, tous se jetteront sur ce numéro maintenant en librairie.



Annonce de la parution de Rhodanie n°125

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